Je venais de m'installer il y à tout juste une semaine à Wistaria Lane. C'était une ville très différentes de la mienne , très petite aussi , comparé à New York c'était absolument rien du tout , c'était assez étrange d'ailleurs mais j'aime beaucoup ça me rappelle ma ville d'enfance. Je sentis mon téléphone vibrer , c'était mes parents ,mais je ne leur répondis pas , je ne voulais pas entendre parler d'eux pour l'instant même si je les aimais énormément j'avais besoin de liberté et ils le savaient. Depuis des années je ne me sentais pas à ma place , j'avais besoin de liberté , d'être libre . J'avais reçu il y a deux jour une invitation à un dîner chez les Solis. Génial ! Ça aller faire l'occasion de faire la connaissance de mes nouveau voisins. Je décida de me faire belle pour l'occasion. Je ne voulais pas que mes nouveaux voisin croive que je suis une SDF. Je monta dans la salle de bain pour prendre une douche bien brûlante. Après être rester 1 heures sous le douche, je fila vers mon armoire à vêtements. Je n'avais vraiment aucune idée de comment m'habiller, si je m'était une robe trop court ont aller me prendre pour une Col-girl, et si c'était trop long une pauvre petit fille timide et réserver alors que je suis tout le contraire de ça. Après avoir fait les 100 pas dans ma chambre, je choisie une robe qui me tomber au dessus du genoux. Je l'enfila puis retourna dans la salle de bain me maquiller. A 19h15 j'était enfin prête. J'avais du retard, comme toujours. Je sortie de chez moi en prenant bien le temps de fermer à clés. Puis je me dirigea d'un pas joyeux vers la grand maison des solis. J'habité à 2 pas de chez eux quand j'arriva sous le perrons je vis un jeune homme attendre. Je l'observa du coin de l'oeil. Plutôt pas mal. Je m'avança à sa hauteur puis je lui lança.

Le jeune homme mis du temps à me répondre, il devait surement être perdu dans ses pensées. Cela me permis de mieux regarder le jeune châtain. Il était vraiment pas mal en le regardant de plus près. Je l'avais juste aperçu une fois; il était entourer d'une bande d'ami. Encore quelqu'un qui n'avais pas du mal à ce faire des amies. Il tourna enfin sa tête vers moi et me lança un sourire, que je m'empressa de lui répondre. J'entendit un peine sa salutation ce qui me fit encore plus sourire. Je devait le mettre mal à l'aise, après tout il ne me connais pas. C'était tout à fait compréhensive. A travers les carreaux de la porte je vis le maître de la maison arrivé. Je repassa une main dans mes cheveux, puis me tourna vers le jeune homme. Il venait de me dire sont prénom.

J'aller lui tendre ma main puis le saluer quand la porte d'entré s'ouvris. Je me tourna pour y voir un homme d'une quarantaine d'année et grand.

Le maître de maison nous invita à entré. La maison était immense et la décoration était magnifique. Je me sentit tout à coup mal à l'aise.